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Après « Smokescreen » sorti l’année dernière, voici « Blinding Fog« , le 2eme chapitre de la trilogie : 5 nouveaux titres aériens, sophistiqués, envoutants... pour un 2eme EP qui poursuit le roadtrip(tyque) musical de JEKYLL WOOD.
Fin annoncée courant 2024 avec « One day out of the cave » l’opus complet regroupant les 3 EPs.
« The Doll » EST UNE EVASION
Une fuite, un abandon.Vers un monde éthéré, irréel, aérien. Vers un monde virtuel. Le début de la désillusion. L’aube d’une libération.
Des sonorités éléctro évoquant les débuts de Daft Punk mélées au groove d’un John Mayer et un travail d’orfèvre sur les arrangements qui sont désormais son empreinte digitale.
« On the corner » EST UN EVEIL
La fin d’un rêve embrumé. La dissipation de l’écran de fumée. Une rencontre au carrefour des mondes. Un titre lancinant et sophistiqué qui interroge sur l’existence du destin.
L’ambiance unique ne délaisse pas les guitares, mais en fait l’instrument d’une atmosphère envoutante, à l’image des productions de Tamino ou de Bon Iver…
« Cliché » EST UN ADIEU
Une abdication fluide. Un nouveau départ.
Un renoncement aux sirènes des croyances trompeuses, aux relations marquées par l’emprise.
Porté par une instrumentation minimaliste mais ciselée et des harmonies envoutantes, le morceau joue malgré tout subtilement avec les clichés. A la croisée des univers de Radiohead ou Tamino.
« Lost Children » EST UNE DECONSTRUCTION
Un regard porté depuis l’extérieur.
La capitulation de la volonté comme toute puissance.
Entre confession et épopée, il nous convie à un voyage életro-folk cinématographique évoquant Woodkid ou Archive.
« Extraordinary Man » EST UNE MUTATION
Une transformation onirique.
Une plongée dans l’atemporalité.
Véritable oeuvre pop progressive, où s’entremêlent le temps (en tant que rythme ou en tant qu’époque), les codes et les sonorités…dans un labyrinthe virtuel emprisonnant les souvenirs de Daft Punk, C2C, Michael Jackson…