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Après « Smokescreen » sorti l’année dernière, voici « Blinding Fog« , le 2eme chapitre de la trilogie : 5 nouveaux titres aériens, sophistiqués, envoutants... pour un 2eme EP qui poursuit le roadtrip(tyque) musical de JEKYLL WOOD.
Fin annoncée courant 2024 avec « One day out of the cave » l’opus complet regroupant les 3 EPs.
- « Blinding Fog » creuse le même sillon que l’EP précédent, un électro rock ultra mélodique. Toujours sur le fil d’une musique entre deux états, il approfondit sa belle ambivalence, entre ombre et lumière. Une musique qui est ici d’une grande finesse : mélancolique et entrainante tout à tour, ou les 2 dans un même mouvement. Jekyll Wood parvient d’une manière encore plus nette à mettre en avant son immense talent de compositeur au service de chansons de plus en plus aériennes, de plus en plus sensibles. Plus mystérieuses également. Si l’on reconnait la belle influence de Radiohead, on la voit aussi se fondre dans un univers qui lui est propre laissant la place à des chansons forgées dans une pop de haute volée, projetée dans une modernité lumineuse. Jekyll Wood signe ici un EP sonique et réveur, au groove addictif. » Yan Kouton | IndiePopRock
- « Le nouvel opus de l’Artiste tourangeau Jekyll Wood est d’une beauté rare sous toutes ses coutures. Il semble bâti pour nous inspirer des images, nous amener tranquillement dans son film, par étapes, fort d’une écriture proche dans son lyrisme des grandes heures de la musique progressive tout en étant pleinement et par nature, une expression de son époque, celle d’un artiste en perpétuelle évolution qui après nous avoir habitué à rester pantois devant ses prestations scéniques, nous offre avec ce travail une belle opportunité de dégustation at home. » DocPilot | chroniqueur indé
- « Un an après le bluffant « Smokescreen », Jekyll Wood revient avec la seconde pièce de sa trilogie d’EP’s. « Blinding Fog » maintient le niveau et explore une pop aérienne, presque gracieuse. Des mélodies fortes aux envolées intimistes viennent nous heurter en toute douceur. Jekyll Wood manie les atmosphères avec une grande aisance, et sait s’y prendre pour faire défiler les images pendant l’écoute de ses créations. « Blinding Fog » alterne avec élégance et une déconcertante facilité entre mélancolie – douce ou profonde – et petits instants extatiques. Jekyll Wood titille le groove de sa folk et y injecte une légère dose d’électronique. Le tout donne une sensation de légèreté qui se prolonge et s’accentue au fur et à mesure de l’écoute. On a plus qu’à attendre patiemment la conclusion de cette superbe trilogie ! » Home Cooking Share
« The Doll » EST UNE EVASION
Une fuite, un abandon.Vers un monde éthéré, irréel, aérien. Vers un monde virtuel. Le début de la désillusion. L’aube d’une libération.
Des sonorités éléctro évoquant les débuts de Daft Punk mélées au groove d’un John Mayer et un travail d’orfèvre sur les arrangements qui sont désormais son empreinte digitale.
« On the corner » EST UN EVEIL
La fin d’un rêve embrumé. La dissipation de l’écran de fumée. Une rencontre au carrefour des mondes. Un titre lancinant et sophistiqué qui interroge sur l’existence du destin.
L’ambiance unique ne délaisse pas les guitares, mais en fait l’instrument d’une atmosphère envoutante, à l’image des productions de Tamino ou de Bon Iver…
« Cliché » EST UN ADIEU
Une abdication fluide. Un nouveau départ.
Un renoncement aux sirènes des croyances trompeuses, aux relations marquées par l’emprise.
Porté par une instrumentation minimaliste mais ciselée et des harmonies envoutantes, le morceau joue malgré tout subtilement avec les clichés. A la croisée des univers de Radiohead ou Tamino.
« Lost Children » EST UNE DECONSTRUCTION
Un regard porté depuis l’extérieur.
La capitulation de la volonté comme toute puissance.
Entre confession et épopée, il nous convie à un voyage életro-folk cinématographique évoquant Woodkid ou Archive.
« Extraordinary Man » EST UNE MUTATION
Une transformation onirique.
Une plongée dans l’atemporalité.
Véritable oeuvre pop progressive, où s’entremêlent le temps (en tant que rythme ou en tant qu’époque), les codes et les sonorités…dans un labyrinthe virtuel emprisonnant les souvenirs de Daft Punk, C2C, Michael Jackson…