Smokescreen
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Voici « Smokescreen » de JEKYLL WOOD.
5 titres pour un 1er chapitre qui débute le nouveau roadtrip(-tyque) qui se cloturera en 2024 avec « One day out of the cave » l’album complet.
« JEKYLL WOOD compose une musique en apparence hybride, comme si le brillant musicien avait décidé de ne pas choisir entre rock vintage, pop classieuse, pur blues et une approche plus expérimentale. Cet éclectisme pourrait largement altérer une démarche si ambitieuse. Et perdre la musique dans un excès de références. Or, il n’en est rien.
« Smokescreen » est un étonnant concentré de sons ultramodernes, flirtant avec la froideur de l’électro, et le classicisme de compositions puisées dans un savoir-faire irréprochable. L’EP déploie une palette sonore à la fois très large et cohérente, balayant tout le spectre de la musique indé, du folk à l’électro-rock, sans jamais se défaire d’une vision.
Celle d’un artiste qui semble voyager à travers les strates musicales du rock, des plus anciennes jusqu’aux plus récentes, des plus viscérales jusqu’aux plus avant-gardistes. Il en résulte des chansons accessibles et exigeantes, comme si elles éloignaient, avec intelligence et talent, la division, parfois artificielle, entre underground et mainstream. »
Ces 5 premiers morceaux « Thirteen« , « How Much« , « Just a little more« , « Not me » et « Friends don’t lie » ont commencé leur voyage radiophonique autour du monde puisqu’ils ont déjà été diffusés sur plus de 290 radios (165 en France et 120 dans 25 pays différents) : Belgique, Usa, Australie, Norvège, Italie, Canada, Argentine, Afrique du Sud, Japon, Angleterre, Ecosse, Pays de Galles, Colombie, Irlande, Danemark, Allemagne, Autriche, Malte, Seychelles, Suisse, Hollande, Philippines, Grèce, Chypre, Malte…
Ces titres sont également rentrés sur plusieurs Playlists Editoriales Spotify : « Frog N Roll », « Au Calme », « All New Rock », « Volume France » et cumulent plus de 700.000 écoutes sur Spotify. Et les 3 premiers clips représentent déjà 100.00 vues sur YouTube.
1. « Thirteen » EST UN VERTIGE
Un premier saut. Dans le vide. Le début d’un road-trip (-tyque) intérieur, un voyage électro-acoustique dans un monde intimiste. Aux frontières du rock et de la pop progressive. Tout paraît limpide. Ce n’est qu’une illusion. Derrière cette apparente fluidité sourde une subtile virtuosité. Des sonorités folk évoquant Steven Wilson, Ben Howard ou Keziah Jones et un travail d’orfèvre sur les arrangements qui sont désormais son empreinte digitale
2. « How much » EST UNE QUESTION
Une question posée en plein silence. Que reste-t-il de la pensée une fois dite ?
Que reste-t-il de l’émotion une fois écrite ? Que reste-t-il de soi ? Bienvenue dans l’épisode 2 du voyage. Un instant épuré dans un monde hyperconnecté. A la croisée de la folktronica et de la bubble pop, on s’enveloppe d’une douceur fragile et mélancolique avec des sonorités folk évoquant Bon Iver ou Radiohead.
3. « Just a little more » EST UN CRI
Un cri qui résonne comme un appel à l’aide. Comme un besoin évident, un besoin de vie, un besoin de l’autre. Nous voici plongés dans une 3eme séquence plus électro-rock : brute, mécanique, implacable. Entre rock vintage et du blues moderne, on laisse les guitares électriques déchirer la toile pour mieux faire apparaître une énergie débordante et une tension mélancolique évoquant les Black Keys, Lenny Kravitz ou Artic Monkeys.
4. « Not me » EST UN AVEU
Un aveu d’ignorance. Une confession qui nous fait adorer les images comme des idoles. Nous pouvons les voir, mais elles ne sont pas. Un chapitre 4 esthétique, gracieux, délicat, une ballade folk évoquant Sting, Tamino ou Radiohead et un impressionnant travail sur les textures sonores.
5. « Friends don’t lie » EST UN REFUS
Le refus d’un mensonge. Une confrontation aux illusions qui nous bercent. Une traversée du miroir. Une plongée en soi. Derrière l’écran de fumée. Sereine et minimaliste, cette cinquième partie flirte avec les univers de Gorillaz, Dire Straits ou Pink Floyd.